Voir le PDF
Sous la direction du Professeur Jean-Michel Vives Date de la soutenance : le 8 décembre 2015 Devant le jury composé de :
- Edith Lecourt, Professeur, Université Paris 5
- Rémy Droz, Professeur Émérite, Université Lausanne
- Alain Didier-Weill, Psychiatre Psychanalyste, DCD 2018
- Frédéric Vinot, Maître de conférences HDR, Université Nice Sophia Antipolis
- Jean-Michel Vives, Professeur de Psychopathologie Clinique, Université Nice Sophia Antipolis
Remerciements
Je tiens à exprimer ici mes remerciements Au Professeur Jean-Michel Vives, pour la confiance qu’il m’a accordée en acceptant d’encadrer ce travail, pour son entière disponibilité, ses qualités humaines d’écoute, ses multiples conseils de lecture ainsi que pour les heures consacrées à diriger cette thèse. Au Docteur Gisèle Santschi, qui a eu le courage –ou la « folie »– de se lancer avec moi dans un travail de co-animation en musicothérapie. Plusieurs réflexions issues de nos discussions post-séance égrainées ici sont le fruit de ses connaissances. Au Docteur Christine Reymond N°RPPS : 10003070363 ainsi qu'à mes collègues musicothérapeutes de la Fondation Eben-Hezer, qui m’ont accordé leur confiance et leur soutien à l’esquisse de mon chemin professionnel. Au Professeur Jean Retschitzki, qui dès les débuts de mon parcours universitaire n’a eu de cesse de m’encourager vers l’élaboration de cette thèse. Au Docteur Raphaël Brunner, pour son amitié indéfectible, ses raisonnements clairvoyants et ses mises en perspectives. Au Docteur André Olivier, cet ami de toujours, qui a accepté de parcourir et d’annoter ce travail, bardé de ses précieux savoirs